En qualité environnementale,

croyez-vous aux solutions toutes faites ?

Procéder par analyse inventive

Aucune recette ne peut s’appliquer. 
Seule la réalité environnementale et sociale peut fournir la qualité de vie à laquelle chacun a droit.
Ce principe explique la part importante du temps consacré au diagnostic du projet d’aménagement ou de construction. Nous retenons une vision large et pluridisciplinaire du champ d’investigation pour couvrir toutes les facettes du développement urbain durable : la structure de l’environnement, l’économie de l’environnement et la sociologie de l’environnement.
La posture de l’observateur est déterminée par les fonctions requises pour l’usager : se loger, se déplacer, se nourrir, travailler, se divertir, se soigner, échanger…
Il ne s’agit donc pas d’inventorier des informations tous azimuts, mais de les sélectionner, les hiérarchiser et les croiser au profit de la faisabilité et de la qualité du projet, dans une logique d’analyse inventive comme mise au point par Bernard Lassus.
Les solutions techniques proposées ne sont pas une fin en soi. Elles sont une réponse à ces fonctions : une liaison douce pour aller où, une placette pour quoi faire, une taille de jardin pour quel paysage, une orientation du bâti pour quel confort ?

 

Cartographier, calculer et modéliser pour vérifier la validité de nos prescriptions

Nous faisons évoluer nos outils en continu.
Nous mettons en place une R et D : matériaux, outils de simulation de plan masse d’aménagement, approche croisée et comparative des ENR…
Nous mettons systématiquement en oeuvre un Système d’Information Géographique : l’outil informatique devient le moyen de croiser l’information spatiale.
La cartographie est le langage commun compris de l’élu, du technicien, de l’association, des riverains, de l’aménageur, du promoteur, du concepteur, du gestionnaire…
Les outils de simulation informatique permettent de tester des scénarios d’optimisation. A l’aide de modeleurs 3D, nous élaborons nos propres algorithmes pour permettre une conception paramétrique des quartiers et bâtiments : en fonction des données environnementales et sociales.
Nous montrons au client qu’il peut aller plus loin que ce qu’il avait imaginé.

Réaliser une veille technique et réglementaire

TRANS-FAIRE dispose d’un fond documentaire dans le domaine de l’environnement appliqué à l’aménagement et à au BTP, régulièrement augmenté. Le personnel se tient à jour de l’actualité technique à travers la lecture de publications et ouvrages français et internationaux, la participation à des colloques et des sessions de formation. TRANS-FAIRE a mis au point des méthodologies d’évaluation et de management environnemental (check-lists, principes de cartographie, médiation…) pour la fiabilité des évaluations.
TRANS-FAIRE réalise une mise à jour mensuelle de sa veille règlementaire appliquée à l’aménagement et la construction.
Nous assurons aussi une veille des avis rendus par l’Autorité Environnementale sur les études d’impacts et évaluations environnementales, pour ajuster au mieux les argumentaires avec nos clients.
Nous tenons à jour des tableaux de suivi des aides techniques et financières possibles pour les opérations d’urbanisme et de construction, de même que des appels à projet.

Faire participer

Convaincus de l’apport des sciences de l’ingénieur, nous ne sommes pas technicistes pour autant et dupes quant aux limites des exercices de simulation.
Nous souhaitons toujours partager nos interrogations et notre vision avec ceux qui vont vivre les quartiers et les bâtiments.
Nous sollicitons la participation des parties prenantes dans des consultations informelles ou formelles (SCoT, PLU, ZAC, renouvellement urbain…).
La créativité est sollicitée pour trouver comment partager et enrichir les projets de ville et de vie. Le point commun de nos actions est de permettre :

  • L’expression des opinions individuelles et collectives.
  • Le croisement des points de vue.
  • L’émergence de solution.
  • Mais aussi, l’argumentation le cas échéant de la non-prise en compte de certaine demandes de manière dépassionnée.

Pour être efficace, une concertation doit commencer le plus en amont possible. Dans ce cadre, nous privilégions souvent un diagnostic en marchant, afin de découvrir un territoire et de faire connaissance. Les autres formes de participation sont notamment :

  • Ateliers.
  • Réunions publiques.
  • Diagnostic participatif.
  • Interviews.
  • Enquêtes publiques.
  • Expositions.

Marier ville, bâti, environnement et art

Évoquer la créativité environnementale pour l’aménagement des villes et le développement du bâti questionne le rôle de l’art, des arts plutôt, plastiques ou vivants.
Le développement d’un paysage prend du temps : celui de la pousse du végétal ou de la rénovation du bâti.
Le recours à l’art est le moyen de valoriser ce temps, esthétiquement bien sûr, mais surtout socialement en permettant l’appropriation de l’espace par l’usager.
La créativité urbaine est stimulée par des résidences d’artistes, des expositions temporaires, du chantier participatif…

Art